En raison des accusations portées contre la France, à la suite de son intervention au Rwanda, il était permis une fois de plus de s’interroger sur la part de la propagande et de la culpabilisation orchestrées à son encontre.

Une démarche susceptible de s’inscrire dans la droite ligne d’autres accusations concernant le gouvernement de Vichy sous l’occupation, son passé colonial.

Cette culpabilisation n’est pas sans effet néfaste pour les intérêts français, notamment s’il est tenu compte, ainsi que certains passages de l’ouvrage l’évoquent, du vieil antagonisme entre l’Angleterre et la France devenu également après la seconde guerre mondiale un antagonisme anglo-américain.

Cet antagonisme, qui s’est également manifesté dans les Balkans, exigeait une mise au point sur la base de documents d’archives et de témoignages qui sont seuls susceptibles de permettre aux citoyens de juger.

C’est d’ailleurs à un anglais, Francis Bacon, que l’on doit cette citation :

«Vacalomnie hardiment, il en reste toujours quelque chose…»

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