Ce qu’il faut reconnaitre, tout d’abord, à l’auteur de cet ouvrage, c’est d’être un homme de la terre, c’est-à-dire à l’heure de l’escroquerie écologique, de la mainmise de la finance criminelle sur l’économie financière et virtuelle, de réunir sur sa personne les qualités d’un être de chair et de sang conscient de ses limites mais invitant les français à la transcendance.

Plus que tout mandat électif et les fonctions de ministre, cette qualité d’homme de la terre conférait à François Guillaume la légitimité de rappeler les dix commandements de l’homme politique.

La destruction du système scolaire, de la justice puis du système de santé ont démontré que depuis un demi-siècle la guerre de conquête menée à l’encontre de la France et des français avait été gagnée parce qu’aucun de ces commandements n’avait inspiré l’action d’une partie de la haute administration et de la plupart des politiciens de ce pays.

Cet ouvrage vient couronner la liste de plus en plus longue des ouvrages parus sous le titre « Pilleurs d’État, Pilleurs de vies, les liquidateurs, les prédateurs, les traitres », c’est pourquoi il mérite notre attention.

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