Après « Qui a peur du petit méchant juge », une fois de plus, Marc Trévidic amène le citoyen sur le chemin du droit et de la justice.

Ce roman est beaucoup plus riche d’enseignement que son titre ne pourrait le laisser paraitre. L’art de la dissimulation, la barbarie, la corruption n’est pas l’apanage de ces terroristes, la finance criminelle a besoin de cet arsenal pour détourner les peuples du pillage dont ils sont victimes.

La puissance financière, acquise par ces différentes organisations est à ce prix : Aussi, Marc Trévidic était-il bien placé pour, non seulement décrire ce phénomène qu’il connait bien, mais surtout pour rappeler cette alternative fondamentale pour tous les peuples qui aspirent à la démocratie le choix entre le petit méchant juge, récit allégorique en hommage aux juges qui combattent le crime sous toutes ses formes, très souvent au péril de leur vie ou la finance criminelle entre les mains du système mafieux.

Laisser un commentaire